SM-Boy explore Greenscope : la startup Environnement qui révolutionne la GreenTech française

Présentation de Greenscope

Salut à toi, explorateur de l’innovation ! Ici SM-Boy, ton astronaute en combinaison mauve et blanche, de retour sur Terre pour te parler d’une étoile montante dans l’univers de la GreenTech française : Greenscope. Cette jeune pousse, fondée en 2022 à Creyssensac Et Pissot, s’est donnée une mission claire : simplifier et rendre plus transparente la collecte et l’analyse des données environnementales, sociales et de gouvernance (ESG).Sa technologie n’est pas juste une plateforme, c’est un véritable cockpit numérique pour les entreprises et institutions financières qui veulent accélérer leur transition écologique. Greenscope relie les mondes du financier et du durable, fusionnant indicateurs quantitatifs et qualitatifs dans un tableau de bord unique. Autrement dit, elle transforme la complexité réglementaire du Pacte Vert Européen en un outil accessible, lisible, et surtout actionnable. Une approche que j’admire, car dans mon vaisseau, tout doit être calibré pour l’efficacité et la clarté.

Greenscope : une startup Environnement pleine d’énergie

Greenscope évolue dans le secteur de l’Environnement, plus précisément au cœur du mouvement GreenTech, où la technologie devient un levier concret pour la planète. Sa cible ? Les entreprises B2B qui veulent mesurer, piloter et communiquer leurs performances extra-financières sans s’égarer dans la paperasse cosmique des réglementations. Avec un modèle centré sur la donnée, Greenscope ne vend pas seulement un logiciel : elle vend une nouvelle façon de comprendre l’impact environnemental. Dans le futur que je vois depuis l’orbite, ce genre de startup ne sera pas seulement utile — elle sera indispensable à la survie des entreprises et à la cohérence du monde durable que nous construisons.

SM-Boy et la vision durable de Greenscope

Je le dis souvent : ce n’est pas la technologie qui sauvera la Terre, mais ce qu’on en fait. Et Greenscope l’a bien compris. En rendant la donnée ESG fluide et interconnectée, cette startup donne enfin un sens concret au mot “durabilité”. Elle lutte contre le greenwashing, cette illusion de vertu écologique, en apportant des preuves tangibles et vérifiables. Quand je vois ce genre d’initiative, je me dis que les humains apprennent enfin à coder l’éthique dans leurs algorithmes. Greenscope, c’est un peu comme une boussole écologique dans un espace rempli de satellites financiers : une startup qui ne se contente pas de parler de planète, mais qui la mesure, la structure, et la protège.

Levées de fonds et données financières

Greenscope n’a pas seulement de grandes ambitions : elle a aussi les moyens de les réaliser. En seulement deux ans, elle a effectué deux levées de fonds, cumulant plus de 4 millions d’euros. La première, en 2023, a permis de lever 1 million d’euros auprès de fonds comme Epopée Gestion, Newfund et Archipel Ventures. La seconde, en 2024, a propulsé la startup dans une nouvelle dimension avec 3 millions d’euros supplémentaires, toujours soutenue par Epopée Gestion. Ces financements confirment que l’écosystème tech croit dans sa mission : rendre la conformité environnementale aussi naturelle qu’un souffle d’oxygène dans mon casque spatial. Les résultats et le chiffre d’affaires ne sont pas encore publics, mais dans l’espace des jeunes entreprises, le potentiel est souvent plus précieux que les chiffres eux-mêmes.

Les fondateurs et la structure de Greenscope

Derrière la vision se cache un pilote : Grégoire Étienne, le fondateur de Greenscope. Il dirige une petite équipe, entre 1 et 10 collaborateurs, mais leur impact dépasse largement leur taille. La société, enregistrée sous la forme d’une SAS au capital social de 41,3 K€, avance avec la rigueur d’un équipage spatial. Leur code APE 5829C témoigne de leur ancrage dans le développement logiciel, mais la finalité de leur travail est bien plus vaste : offrir aux acteurs économiques un tableau de bord clair pour naviguer dans la transition écologique.

Adresse du siège social

Le siège social de Greenscope se situe au 50 Route de la Vieille Chapelle – 24380 – Creyssensac Et Pissot, dans le département de la Dordogne. Une base terrestre paisible, loin du tumulte des grandes métropoles, mais connectée à la galaxie de la French Tech Périgord. Cette localisation n’est pas anodine : elle symbolise un retour à la nature, un ancrage dans le réel, loin des tours de verre où l’air se raréfie. Greenscope, c’est l’exemple parfait d’une startup française qui prouve que l’innovation durable peut naître n’importe où — même dans les zones les plus calmes du territoire.

Concurrents et écosystème

Dans la vaste constellation des startups environnementales, Greenscope brille par sa singularité. Elle évolue dans le même écosystème que d’autres entreprises de la GreenTech et de l’Environnement, mais son approche centrée sur la donnée et la transparence la distingue. Plutôt que de chercher à concurrencer, Greenscope construit une alliance entre entreprises, investisseurs et institutions pour bâtir un monde plus clair, plus vert et plus responsable. Dans cette mission, elle incarne l’esprit même de Spacemoneyworld : l’innovation au service de la durabilité et de l’équilibre global.

Conclusion : l’empreinte verte de Greenscope

Alors que je reprends mon vol orbital, je garde un œil attentif sur Greenscope. Cette startup ne se contente pas d’analyser des chiffres — elle redéfinit la manière dont les entreprises perçoivent leur impact sur la planète. Et c’est là que réside toute sa puissance. Pour moi, SM-Boy, Greenscope est une preuve vivante que la technologie et la conscience peuvent cohabiter dans un même cockpit. C’est une fusée verte dans l’univers de la French Tech, et son carburant, c’est la transparence. 🌍🚀