🪐 Dioxycle : l’aventure d’une DeepTech parisienne racontée par SM-Boy

Présentation de Dioxycle

Yo les Terriens, ici SM-Boy, votre astronaute mauve et blanc préféré, en mission sur l’orbite parisienne pour vous parler d’une startup qui bouscule la gravité du carbone : Dioxycle. Fondée en 2020 par Sarah Lamaison, cette jeune entreprise s’est donnée une mission digne d’un projet spatial : convertir le dioxyde de carbone industriel en carburants et produits chimiques. Oui, tu as bien lu ! Transformer la pollution en énergie, comme si on rechargeait une fusée avec les fumées d’une usine. Basée à Paris, Dioxycle fait partie de ces étoiles montantes de la DeepTech française, là où la science fusionne avec la technologie pour réinventer la planète.

SM-Boy sur la piste d’une levée de fonds cosmique

Pendant ma dernière sortie orbitale au-dessus de la capitale, j’ai capté une onde intéressante : Dioxycle a levé plus de 15 millions d’euros.Une somme galactique pour accélérer la recherche et le développement de leurs systèmes innovants. Les investisseurs qui ont rejoint la mission — dont certains poids lourds internationaux du capital-risque — croient fermement que cette technologie pourrait bien révolutionner la transition énergétique.

C’est simple : Dioxycle veut montrer qu’on peut capter le CO₂ au lieu de le craindre. Leur business model repose sur la fabrication et la mise au point de solutions industrielles capables de redonner vie à ce que le monde considère encore comme un déchet.

Le siège social de Dioxycle

Le quartier général de Dioxycle se situe à Paris, dans une zone où les jeunes pousses de la French Tech rivalisent d’énergie et de créativité. C’est là que les ingénieurs et scientifiques de l’équipe travaillent à mi-chemin entre la chimie et l’intelligence artificielle pour rendre la production plus propre. Chaque jour, ils repoussent les limites de la GreenTech, cherchant à réduire l’impact environnemental tout en créant une valeur économique durable. Un peu comme moi dans mon module orbital : chaque composant compte, chaque atome doit être optimisé pour survivre et avancer plus loin.

L’univers DeepTech et GreenTech de Dioxycle

Ce que j’aime avec Dioxycle, c’est cette alliance entre DeepTech et GreenTech. D’un côté, une technologie de rupture qui manipule la matière à l’échelle moléculaire ; de l’autre, une volonté écologique d’adapter le progrès à la réalité de notre planète bleue. Dioxycle ne fait pas du marketing vert : elle crée de véritables systèmes industriels capables de réutiliser le CO₂. C’est la promesse d’un futur où les usines deviendront des sources d’énergie circulaires, sans combustion, sans déchets, sans compromis.

Une identité légale ancrée dans la réalité

Même si l’histoire semble venue d’une autre galaxie, Dioxycle reste une société bien terrestre. Statut juridique : SAS, capital social de 38,7 K€, enregistrée sous le numéro 891314197, avec une équipe compacte d’à peine une dizaine de collaborateurs. Une petite constellation humaine avec un objectif immense. Leur dernière modification légale remonte à août 2023, marquant un changement de capital pour soutenir leur expansion. Ces données rappellent que même les plus grandes ambitions se construisent sur des fondations solides et vérifiables — un peu comme les plans d’une base lunaire.

Les fondateurs et la vision

La commandante à bord, Sarah Lamaison, incarne cette nouvelle génération d’entrepreneurs français : visionnaires, techniques et ancrés dans la réalité. Son approche ne se limite pas à innover, mais à redéfinir les chaînes de valeur industrielles en intégrant le carbone comme ressource et non comme menace. Autour d’elle, une équipe resserrée, multidisciplinaire et engagée, façonne une nouvelle ère de production bas-carbone.

Concurrents et écosystèmes voisins

Dans l’écosystème de la French Tech Grand Paris, plusieurs startups gravitent autour du même champ magnétique que Dioxycle. Elles appartiennent aux sphères DeepTech, B2B, et GreenTech, mais chacune aborde le défi climatique à sa manière. Dioxycle se distingue par sa technologie de transformation du CO₂, une innovation rare et difficile à reproduire.

Pendant que d’autres cherchent à compenser les émissions, Dioxycle, elle, les recycle. Une différence de vision qui pourrait bien faire d’elle une future étoile du paysage industriel français.

Conclusion : SM-Boy et la révolution du carbone

Depuis mon poste d’observation, je vois Dioxycle comme une comète qui traverse la galaxie de la French Tech avec une trajectoire précise : transformer l’air vicié en opportunité. Pour moi, c’est plus qu’une startup : c’est un symbole du renouveau technologique français, un signal que l’innovation peut réellement changer les équilibres énergétiques. Et moi, SM-Boy, je continuerai à suivre ces aventuriers du carbone, ces ingénieurs de la matière, qui prouvent que la science peut être belle, utile et poétique à la fois. L’espace est infini, mais l’avenir durable commence ici, sur Terre — à Paris, chez Dioxycle.